« Le manque de confiance des banques dans la transformation des noix de cajou est un obstacle redoutable» (Jim Fitzpatrick)

Agence Ecofin : Malgré la progression de la récolte africaine, le continent reste encore un petit poucet sur le plan de la transformation, comparativement à des pays asiatiques comme l’Inde ou le Vietnam qui transforment en moyenne plus de 1,5 million de tonnes de noix par an. Comment expliquer un tel retard des pays africains ? 

Jim Fitzpatrick : Des progrès ont été enregistrés, ces dernières années, avec la réduction de nombreuses barrières. D’abord, l’introduction de la transformation semi-mécanisée a facilité l'entrée sur le marché d’entreprises capables de lever des fonds et de gérer la transformation, même si le processus a été difficile et que de nombreuses erreurs ont été...lire la suite